Basware prévoit du changement dans le financement des entreprises en 2016

Consumérisation des finances, analytique prédictive, initiatives gouvernementales et réseaux B2B moteurs du changement

Basware, le leader mondial de la facturation électronique et des solutions purchase-to-pay, prévoit un changement majeur dans la manière dont les sociétés vont se financer, améliorer leur flux de trésorerie et développer leurs activités en 2016. Basées sur des réseaux de commerce en ligne qui modifient la façon de faire des affaires, plusieurs grandes tendances vont dessiner ce nouveau paysage, dont la consumérisation des finances, marquée par l’accent mis sur l’expérience client, et la croissance du financement dans le cloud. Le recours à l’analytique prédictive pour aider les entreprises à mieux utiliser les données financières et les données fournisseurs pour ainsi améliorer les flux de trésorerie et renforcer les relations avec les fournisseurs, combiné à l’augmentation du nombre d’initiatives gouvernementales au profit de la facturation électronique dans le secteur public contribueront également à ces changements.

« L’année 2016 sera l’année du changement pour les finances des entreprises, » a déclaré Esa Tihilä, CEO de Basware. « Les forces industrielles, de même que les technologies de pointe et les nouveaux services B2B convergent pour offrir aux entreprises une flexibilité sans précédent en matière de gestion des flux de trésorerie et du capital d’exploitation. D’opérationnelle, la fonction purchase-to-pay est appelée à devenir stratégique pour se transformer en moteur d’activité, les sociétés déterminant non seulement comment et quand elles vont payer les fournisseurs, mais comment elles vont financer toutes les sommes dues de manière à renforcer leurs fonds propres. Ce grand changement dans la manière dont les sociétés vont financer leurs créances va également renforcer les fournisseurs, en particulier les PME, quand ils prendront conscience des avantages des nouvelles opportunités de financement leur permettant d’améliorer leurs flux de trésorerie et d’alimenter ainsi leur croissance. »

S’appuyant sur son rôle de leader et sa connaissance des projets clients, Basware a identifié les cinq tendances-clés suivantes en matière de financement des entreprises, tendances qui devraient modifier considérablement le paysage du financement B2B en 2016 :

  • Consumérisation des finances des entreprises. Le besoin constant des entreprises d’améliorer leurs liquidités, combiné aux nouvelles technologies offrant une plus grande visibilité et un meilleur contrôle, permettent aux départements financiers des entreprises de passer d’un rôle tactique à un rôle stratégique qui soutient la croissance des entreprises. Les attentes des utilisateurs en matière d’ergonomie accrue grâce à une amélioration des interfaces, une accessibilité et des applications mobiles et l’analytique sous forme de tableaux de bord « consumérisent » les finances des entreprises. De même, le rôle des paiements alternatifs dans le B2B suit le même chemin que les solutions de paiement dans le monde B2C, offrant aux entreprises un éventail sans fin d’options de financement.
     
  • Financement basé sur les technologies du cloud sur les réseaux B2B pour un financement « just-in-time ». De nombreuses entreprises se tournent vers le cloud afin d’obtenir un financement et de booster leur capital d’exploitation de manière plus rapide et plus efficace. Les nouveaux services de financement basés sur les technologies du cloud fondés sur les réseaux B2B mondiaux leur permettent d’avoir accès rapidement et « just-in-time » à des capitaux. À titre d’exemple, les informations critiques comme les entreprises et leurs acheteurs ou le montant en dollar des factures sont déjà présentes sur le réseau. Dans un même temps, le financement basé sur les technologies du cloud offre aussi aux banques et financeurs alternatifs de plus grandes opportunités de développer leur activité en proposant un financement jusqu’au niveau le plus infime des factures.
     
  • Nouvelles options de financement permettant une chaîne d’approvisionnement collaborative. L’époque où les acheteurs avaient tous les pouvoirs est bientôt révolue et va se transformer en une relation plus équilibrée entre acheteurs et fournisseurs, avec plus de flexibilité et de contrôle des paiements pour les deux parties. Comme les réseaux B2B offrent de nouvelles options de financement, les fournisseurs disposeront de davantage d’opportunités pour être payés plus rapidement grâce à des options de financement plus favorables et ainsi maintenir des flux de trésorerie sains. Dans un même temps, les acheteurs auront davantage d’options pour étaler les paiements sans nuire à leurs relations avec leurs fournisseurs, permettant ainsi des transactions plus aisées, plus efficaces et bénéfiques pour les deux parties.
     
  • Analytique prédictive pour des décisions financières plus judicieuses. Une nouvelle génération d’analytique prédictive permet aux organisations de financement d’utiliser les big data pour identifier les tendances financières critiques et significatives et améliorer la sécurité. Cela permettra aux entreprises d’identifier rapidement les opportunités de croissance et de prendre de meilleures décisions financières plus rapidement.
     
  • Soutien de la facturation électronique par les gouvernements. En Belgique, tant le gouvernement flamand que le gouvernement fédéral soutiennent résolument la facturation électronique. L’État fédéral a ainsi encore augmenté ce mois-ci la déduction pour investissement pour les investissements numériques comme les systèmes de paiement et de facturation numériques. Cette déduction majorée pour investissement revient à un avantage fiscal en vertu duquel 13,5 % du montant investi sont déduits en une fois du bénéfice imposable. Cette déduction majorée pour investissement sera possible à partir de l’année d’imposition 2016 (revenus 2015) et vaudra pour les entreprises unipersonnelles et les petites sociétés[1]
    Le gouvernement a pour sa part déjà fait savoir clairement qu’il n’accepterait plus que des factures électroniques de ses fournisseurs à partir de 2017. La Belgique a déjà stimulé le recours à la facturation électronique ces dernières années, mais jusqu’à présent, ce mode de facturation n’a trouvé grâce qu’auprès des grandes entreprises. En rendant « obligatoire » la facturation électronique, la Belgique veut impliquer davantage les PME dans ce processus.
    Ces efforts sont dictés par le besoin d’améliorer l’efficacité, de diminuer les coûts, de réduire la fraude et de garantir l’exactitude des recettes provenant des taxes de vente.

[1] Les petites sociétés sont les sociétés qui, pour le dernier (et l’avant-dernier) exercice clôturé, ont des effectifs annuels moyens inférieurs à 100 travailleurs et ne dépassent pas plus d’un des critères suivants :

  • Nombre de travailleurs occupés, en moyenne annuelle : 50 ;
  • Chiffre d’affaires annuel, hors TVA : 7.300.000 € ;
  • Total du bilan : 3.650.000 €.

ATTENTION : les critères sont calculés sur une base consolidée ; autrement dit, les chiffres des sociétés liées sont comptabilisés.

20151222-Voorspellingen-2016-FR.doc

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Sandra Van Hauwaert

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